Chaque crépuscule
Par domcorrieras, le jeudi 17 juin 2021 - Poèmes & chansons - lien permanent
Chaque crépuscule la chambre changeait
Toujours la même changeait
Depuis la position du matou répandu
Jusqu'à ce que Locarno serre la
Chrysalide épique contre l'idée
La face intense
Et la circulation frémit la
Particularité, ô, oui, l'unique
Pris au passage, convulsif, les ruines
De chair surprennent
La majesté à devenir pleine sueur
Et le moindre des traits de
L'ensemble remplissait l'apothéose
Et
Vivacité de lenteurs obsédantes
Noyait le flux par nouer les étonnements
Matthieu Messagier / Dernières poésies immédiates