« Il n'y a pas de plus grand poète.
Il y a la poésie. »

Paul Fort (Canzone du vrai de vrai / Portraits sur le sable)

Sou­ve­nir affec­tueux

 

 

 

 

Il y eut un grand rire triste

La pen­dule s’arrêta

Une bête fauve sau­vait ses petits

 

Rires opa­ques dans des cadres d’ago­nie

Autant de nudi­tés tour­nant en déri­sion leur pâleur

Tour­nant en déri­sion

Les yeux ver­tueux du phare des nau­fra­ges.


 

Paul Éluard / La vie immé­diate