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Par domcorrieras, le vendredi 23 février 2018 - Poèmes & chansons - lien permanent
Les pauvres et les désœuvrés implorent dieu
Lorsque la lune pâlit et grande est la peine
Le maudit et la putain implorent la vierge
Lorsque le temps fuit et vides sont les rues
Et moi, à chaque fois que les cauchemars me cernent,
Je m’accroche à ton charme, à ta douceur
et… aux gorgées qui jonchent le chemin du hasard
Kader Rabia / Soubaïyyat - Les septains d’amour, de vin et de mots