Balade que composa le XXXIV pédago du Phalustère, le sieur Jules Cavignou, de l’amicale des Sapeurs de Morale, dédiée au Compagnon Séraphin de Haute Pègre
Par domcorrieras, le dimanche 15 mai 2016 - Poèmes & chansons - lien permanent
Envoi :
Dès lors que le Pair rigol’
Il n’amasse point pèze
Ni braise, ni flouze, ni fraise
Adonque pleure la gandol’
Ô toi, cher bulbe en fleur
Rapace euônymon
Toi l’mecton dont le cœur
Couve un Smith & Wesson
Tu t’es foutu le doigt
Dans l’œil jusqu’à l’anus
Chicago et détroit :
Mec, t’as loupé ton bus
T’es natif d’ quelques piges
En chandelle ma grosse
Compte à rebours, tu piges
Et oncques, de Nage, bosses
Les biquetons qui causoient
À grands coups de Thomson
Qui, le rastel s’ fendoient
Quand pétoient les magnums
Et les coffios d’Âgés
Qui, mine aux dents, ouin, ouin !
S’entr’offroient des dragées
Pour la Saint Valentin
Ces délicieux barbons
Avaient des goûts champestres
Ils s’envoyaient, pardon
De bière en bière paistre
En chêne et sans salpestre
God save the mirlitons !
Des fols du temps jadis
Conviens-en, mon Pégase
Des Capone et Lucky
Qui se souvient du blaze ?
Que sont ces zigues devenus
Ils ont été électrifiés
L’arnaque est morte
Jànluc Sauvaigo / mes potages de potache - éditions la stampa segurana