« Il n'y a pas de plus grand poète.
Il y a la poésie. »

Paul Fort (Canzone du vrai de vrai / Portraits sur le sable)

point, situation, bilans provisoires

 

 

 

 

 

dans le cabinet

nommé bibliothèque, glisse

ligoté le contour du temps é-

méché dans la lumière du soleil

l’oblique trace de poussière

connaissavoir ançastral

diagonal/et s’empoussière

un semouleux tissage

granulé à l’air pour rien (ou tout)

font en un front cuirassé

des livres briques la queue du serpent

à la morsure sèche dans la pomme

para:dis, un

José F. A. Oliver / fernlautmetz
traduit de l’allemand par Philippe-Henri Ledru